Dans le cadre de ses travaux sur la "Mémoire tourrettane", l'Académie Marémontane s'intéresse à la famille Carlès (première partie, côté Gilbert et Lionel, le conservateur, qui réalise les recherches).
Ci-dessous : Hippolyte Carlès et Jeanette (en été 1935) (grands-parents de Lionel, le conservateur du château en 2010), sur un muret de la place sous le château (place neuve) avant leur mariage...
Voir une autre illustration du couple plus bas...
Ci-dessous: Clerissi Jean Baptiste (dit Titin) et Marguerite née Carlès (dite Margot) soeur d'Hippolyte, durant l'été 1947 ou 1948.
Etant veuve de guerre, elle a certainement bénéficié d'un soutien de l'Etat pour devenir débitante de tabac en janvier 1926 (petite dépendance de l'actuel restaurant du Château) et ainsi subvenir au besoin de ses trois enfants.
Au décès de Françoise Carlès en 1945, c'est sa fille, Jeanne Carlès (soeur d'Hippolyte et de Marguerite dite Margot), qui a repris le commerce (voir ci-dessous).
Ci-dessus, à droite Gilbert Carlès (l'artiste peintre, père du conservateur Lionel Carlès) avec un de ses copains. Sa tenue paraît "coquette" mais il n'a que 6 ou 7 ans, et la mode, à l'époque, était certainement secondaire. Ils ont d'ailleurs tous les deux une barrette dans les cheveux et Gilbert porte un tablier à carreaux pour ne pas salir ses vêtements, protection fréquente à l'époque. Il faut savoir qu'il habitait Nice et ne montait à Tourrette que pour les vacances, dans la maison familiale de son père, au n°199 du Frogier. L'escalier existe encore, même si, depuis, la route a été élargie... et goudronnée.
et voir additif ci-dessous
